Reconnaître la réalité de son émotion
Cela permet d'entrer dans la communication et de comprendre qu'il y a un problème; ce que vous pouvez lui dire : "Je vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Si tu es en colère, c'est ce que tu as de bonnes raisons de l'être". A éviter : "Ça ne sert à rien de piquer une crise"
Le rassurer
rassurez le sur ses qualités. N'hésitez pas à lui rappeler combien il est gentil, agréable, malgré son comportement.
Ouvrir le dialogue
proposez à votre enfant d'en parler avec lui. Attention à ne pas l'accabler de pourquoi. proposez lui de faire un dessin pour l'aider à s'exprimer.
L'aider à vider sa colère
invitez votre enfant à décharger son émotion, proposez lui de l'extérioriser. Par exemple de crier dans les toilettes. "Rien que le fait de savoir qu'il est autorisé à décharger ses émotions, le calme. Vous pouvez criez avec lui.
Prévenir l'apparition des colères
Faites un bilan émotionnel de la journée. Demandez lui de citer trois choses négatives puis trois choses positives qui se sont déroulées dans la journée, avant de s’endormir. Votre enfant apprend à exprimer ce qui ne va pas.
La boite à beurk
Prenez une boîte de mouchoirs, que vous transformez en urne et invitez vos enfants à déposer leurs doléances. Selon leurs âges, ils peuvent écrire ou dessiner ce qui ne leur convient pas. Une fois par semaine, dépouillez l'urne et provoquent une discussion en famille.
Le totem
Pour les enfants qui ont du mal à extérioriser leurs émotions, il est conseillé de choisir un objet totem : une peluche, un objet du quotidien… Quand l'enfant le place sur le lit des parents, cela signifie qu'il a un problème et qu'il a besoin qu'on vienne l'aider." Il faut alors prendre du temps avec lui.
Les bons d’énervements ou bons de colère
Il s’agit de petits couperons, l’enfant peut noter son énervement du jour en quelques mots. On le recommande à l’enfant lorsqu’il est furieux, énervé ou dégoûté par une injustice de remplir ce bon puis de le froid c’est de le jeter loin.
La bouteille de retour au calme
Vous aurez besoin d’une petite bouteille en plastique, de paillettes, de colle et d’huile de paraffine. La colère est souvent de courte durée et s’estompe quand l’esprit trouve un objet de distraction. Lorsque l’enfant secoue la bouteille, les paillettes vont s’émouvoir et retomber tout doucement. En focalisant son attention sur les paillettes, il va se détacher de ce qui a provoqué sa colère et revenir progressivement à un état de calme intérieur.
Le coussin de colère
Choisissez un coussin qui deviendra le coussin de colère. Prenez le temps de lui expliquer à quoi servira ce coussin. Si vous sentez qu’il a besoin d’évacuer sa colère physiquement, dites lui par exemple « je vois que tu es très en colère, tu ne dois pas garder ça à l’intérieur de toi, viens on va chercher le coussin de la colère ». Ce coussin il peut le taper, le mordre, le tordre, où le serrer très fort contre lui. L’idée n’est pas de l’utiliser comme défouloir, ni d’associer la colère au fait de taper, mais ça peut lui permettre d’évacuer l’énergie de sa colère sans se blesser, ni blesser les autres, et finissez par un gros câlin.
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